06/09/2025 francesoir.fr  19min #289651

 Révélations : Comment la France a inventé le complexe industriel de censure - Twitter Files

La France, architecte d'un complexe industriel de censure sous contrôle : une plongée dans les Twitter Files France

Le Collectif Citoyen et Xavier Azalbert, France-Soir

La France, architecte d'un complexe industriel de censure sous contrôle : une plongée dans les Twitter Files France

Pixabay, AFP, France-Soir

Résumé : ce mercredi 3 septembre 2025, les Twitter Files France, publiés par Pascal Clérotte et Thomas Fazi pour Civilization Works, exposent un cartel de censure orchestré par l'État français sous Emmanuel Macron. Hérité de la loi Pleven de 1972 et renforcé depuis 2018, ce système utilise des ONG (SOS Racisme, UEJF), des pressions judiciaires (poursuites contre Damien Viel et X) et des financements opaques (USAID-Internews, AFP, AFD, CNC) pour étouffer la liberté d'expression. Macron a tenté de manipuler Twitter via Jack Dorsey en 2020, tandis que des cas comme Zoé Sagan ou Miss France illustrent cette emprise. La défiance est criante : 97 % des Français désapprouvent Macron, et 88 % jugent le gouvernement déconnecté (sondage France-Soir/BonSens.org, 28 août 2025).

Géopolitiquement, ce modèle alimente un clash avec les États-Unis, où Trump défie le DSA, tandis que des comparaisons avec les censures aux USA et au Brésil soulignent une instrumentalisation unique. Les utilisateurs affrontent une surveillance biométrique et des amendes via le DSA, poussant vers une société de contrôle. La conclusion fustige une élite technocratique, ruinée par ses échecs (Covid-19, Ukraine) et accrochée à une idéologie obsolète, démantelant les contre-pouvoirs. Malgré des technologies disruptives comme espoir, la répression s'intensifie, appelant à un sursaut citoyen face à ce système qui menace la démocratie.

*** analyse détaillée ***

Une liberté d'expression en péril - ce mercredi 3 septembre 2025,  le premier épisode des Twitter Files France, publiées par Pascal Clérotte et Thomas Fazi pour Civilization Works, viennent secouer les consciences. Ce rapport, enrichi par  les tweets de Michael Shellenberger, dévoile une censure orchestrée par l'État français depuis 1972 et plus particulièrement sous la présidence d'Emmanuel Macron. Divers observateurs sur les réseaux sociaux, comme  Fabrice Epelboin, n'ont pas manqué de commenter ces « Twitter Files France » ou « TFF' » tant attendues.

À travers l'utilisation d'ONG, de pressions judiciaires et de financements opaques, ce système, surnommé le « Cartel de la Censure » menace de réduire la liberté d'expression à un privilège réservé aux conformistes. Dans une France où seulement 3 % des Français pensent que le président mène le pays dans la bonne direction et 88 % jugent le gouvernement déconnecté ( sondage France-Soir/BonSens.org, 28 août 2025), cet article explore les racines historiques, les mécanismes actuels et les implications globales de cette dérive, avec un focus approfondi sur les impacts directs.

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Les racines historiques : une censure ancrée dans l'ADN français

L'histoire de la censure française remonte à la loi Pleven de 1972, qui a criminalisé certains discours, posant les jalons d'un contrôle étatique sophistiqué (rapport, page 4). Héritière de l'absolutisme de Louis XIV – où « L'État, c'est moi » incarnait la centralisation – cette tradition s'est muée en un arsenal législatif moderne. Depuis 2018, des lois prétendument destinées à protéger les enfants, les minorités ou la société contre la « haine » ont renforcé cette emprise, transformant la liberté d'expression en un droit conditionnel. Le rapport cite Henri Queuille : « L'art de la politique ne consiste pas à résoudre des problèmes, mais à faire taire ceux qui les mettent en lumière », une maxime qui résonne dans la  création de VIGINUM le 13 juillet 2021, une agence dédiée à traquer la désinformation, ou dans les projets d'identification biométrique visant à abolir l'anonymat dans l'optique de « l'introduction éventuelle de l'euro numérique et un portefeuille numérique contenant les éléments administratifs, données de santé et autres ». Ce passé centralisateur explique pourquoi la France a exporté son modèle via le Digital Services Act (DSA), imposant une régulation européenne aux racines hexagonales.

« En 1984, la BD S.O.S. Bonheur de Van Hamme et Griffo n'est pas qu'un écho d'Orwell ou d'Huxley, mais chaque case semble écrite pour 2025, dévoilant une société où les droits s'effacent, où l'ordre étouffe, où les élites règnent loin des regards » écrivait Xavier Azalbert. Dans  un édito sur la vision prophétique, des deux auteurs, d'une dictature cachée, il résumait les éléments d'« une société sous clé : une dystopie où l'IA et l'ordre étouffent l'humain ».

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Macron, le maître d'œuvre : une mainmise assumée

Emmanuel Macron se dresse comme l'architecte central de cette censure. Le rapport révèle ses tentatives répétées pour contacter Jack Dorsey (PDG de Twitter de l'époque) en octobre 2020 via son conseiller Mohamed Adjene Tajette, sous prétexte de féliciter Twitter pour ses mesures électorales, mais avec l'objectif clair d'influencer la modération. Epelboin qualifie cela d'«  intervention directe ».

Intervention directe du Président Emmanuel Macron

En octobre 2020, l'équipe du Président Emmanuel Macron a insisté pour obtenir le numéro de téléphone du PDG de Twitter de l'époque, Jack Dorsey, sous prétexte de le féliciter pour les mesures prises en faveur de l'intégrité…  pic.twitter.com/fmTIK8Q6sQ

— Fabrice Epelboin (@epelboin)  September 4, 2025

Des cas emblématiques comme la suppression du compte d'info-fiction, caractérisé par certains comme « satirique »,  Zoé Sagan sous pression de l'Élysée ou l'affaire Miss France, où des posts critiques ont été effacés, illustrent cette emprise.

Les cellules d'information et de contrôle, comme la cellule grise de l'Élysée, décrite par un proche de l'Élysée comme « un cercle informel, mais puissant », et le conseil de défense, activé durant la COVID, ont orchestré des mesures autoritaires, censurant les débats sur divers sujets liés, par exemple, au conflit Russo-Ukrainien ou aux vaccins covid. À titre d'exemple, ce 4 septembre, Emmanuel Macron déclarait sans preuve à la coalition des volontaires que « la Russie a perdu un million de soldats pour conquérir moins d'1% du territoire ukrainien », message immédiatement repris par les médias mainstream sans aucune vérification.

Un autre exemple peut être la mission de désinformation confiée par le ministre de la Santé Yannick Neuder à trois « experts » aux liens d'intérêt qui ne semblent pas pris en considération et dont les prises de positions scientifiques se sont avérées quasiment toutes erronées.  Dénoncée par France-Soir comme un « pari risqué pour la vérité et la République », cette mission ou cellule, « voulue par l'Élysée » selon notre observateur élyséen, « s'apparente à la mission prise par la conseillère d'état Laure Franceschini pour faire perdre  l'agrément CPPAP à France-Soiren invoquant que ce média serait dangereux pour la Santé ». La mission de Neuder vise à imposer un récit officiel, amplifiant la défiance publique dans un pays déjà sceptique.

Les ONG, outils de la censure déguisée : une stratégie légale détournée

Face aux interdictions constitutionnelles et à la loi de 1881 sur la liberté de la presse, l'État a délégué la censure à des ONG comme SOS Racisme, UEJF, SOS Homophobie, LICRA et MRAP, financées ou accréditées par les pouvoirs publics ( Epelboin).


Comment la France a inventé le complexe industriel de censure les Twitter Files France
par Pascal Clérotte et Thomas Fazi

Ces entités, masquées sous un vernis d'indépendance, exigent des données internes de Twitter et imposent une modération préalable, une pratique illégale pour l'État. Le rapport (page 6) détaille des demandes explicites de transparence, dévoilant une intrusion dans les opérations des plateformes. Cette stratégie, initiée sous Hollande et peaufinée sous Macron, transforme ces ONG en «  exécuteurs non-gouvernementaux », alignant leurs actions sur des lois comme la loi Avia contre la haine. Leur rôle dans la censure de comptes jugés « haineux », souvent sans fondement juridique clair, illustre une coordination avec les objectifs gouvernementaux.

Pressions judiciaires : une arme politique contre les dissidents

Les assauts judiciaires complètent ce dispositif. En 2022, Damien Viel, alors PDG de Twitter France, a été poursuivi pour  « non-conformité à une injonction judiciaire » et « complicité de diffamation » après des tweets comparant la police au régime de Pétain, bien qu'acquitté ( élément repris dans un tweet explicatif d'Epelboin). En juillet 2025, une enquête pénale vise X et sa direction pour « ingérence dans un système de traitement automatisé de données » et « extraction frauduleuse », avec des peines possibles de dix ans de prison et 300 000 € d'amende, menaçant même Elon Musk s'il foule le sol français.

 L'arrestation de  Pavel Durov en août 2024, inculpé pour complicité dans des transactions illégales liées à Telegram, s'inscrit dans cette logique, visant à forcer l'accès aux communications chiffrées dans un contexte politiquement chargé. Accès à des outils de communication préconisés pour sa « sécurité » par le parti d'Emmanuel Macron lors de sa campagne en 2016 et 2017 !

Financements opaques : USAID, Internews, AFP et AFD au service du contrôle

Ce système repose sur des flux financiers troubles.  USAID a investi 472,6 millions de dollars dans Internews depuis 2008, couvrant 95 % de son budget pour des opérations de contrôle médiatique, tandis que des liens avec la CIA sont soupçonnés via des filiales aux Caïmans. L'Agence France-Presse (AFP), financée à 135 millions d'euros par l'État, est décrite par France-Soir comme une «  Agence Fausse Presse », n'ayant pas informé les Français sur  la procédure pénale visant Ursula von der Leyen, alors qu'elle rapportait sélectivement une information moins importante comme son prix Honoris causa à l'université de Toulouse. L'AFP a aussi contribué à la désinformation sur la COVID-19 (dépêche sur le Lancet Gate du 22 mai 2020 sans aucune vérification, fact-checking partiaux sur les effets secondaires de la vaccination, efficacité vaccinale non remise en cause alors que les données de la science sont criantes et que  plus de 700 études sont publiées à ce sujet). En outre l'AFP et les médias ont tendance à  trahir leur devoir d'informer, et l'AFP ne corrige que rarement ses erreurs, avec par exemple, une correction seulement  après une mise en demeure de France-Soir en mai 2025. De son côté, l' Agence Française de Développement (AFD), équivalent français de l'USAID, avec 13 milliards d'euros,  finance des projets plutôt « opaques » sur la communication inclusive en Afrique, ou  un stade inutilisable à Tananarive pour 77 millions de dollars.

Si le rapport de Civilization Works mentionne France-Soir comme une cible, avec une tentative de retrait d'accréditation en 2022, le motif invoqué, comme quoi le média ne respecterait pas la proportion requise de journalistes professionnels, est erroné.


Extrait du rapport Fazi/Clérotte sur France-Soir

En effet, c'est en 2021, sous la pression, entre-autres, du syndicat des journalistes, que la ministre de la Culture Roselyne Bachelot demanda une vérification de l'agrément de France-Soir. Cet agrément avait été obtenu en septembre 2017 pour une durée de 5 ans. La CPPAP confirmera l'agréement de France-Soir le 15 mars 2021.


Courrier de la CPPAP le 15/3/2021 sur l'agrément de France-Soir

C'est fin 2022 que la CPPAP ne renouvellera pas l'agrément de France-Soir, une décision annulée par le tribunal administratif en janvier 2023 et confirmé par le Conseil d'Etat. C'est donc en juillet 2024, que la CPPAP, mettant en œuvre la stratégie développée par Franceschini ne renouvellera pas l'agrément de France-Soir portant ainsi atteinte à son financement et à la liberté de la presse. Cette décision est contestée et fait l'objet d'une procédure devant le Tribunal Administratif de Paris.

L'info-fiction et le CNC : une manipulation culturelle en sourdine

Un angle méconnu, mais crucial, est l'info-fiction, où des récits fictifs sont présentés comme faits pour manipuler l'opinion, une pratique implicite dans les biais de l'AFP. Le Centre National du Cinéma (CNC), financé à 700 millions d'euros annuels, est considéré par France-Soir d'avoir  détourné des centaines de millions pour subventionner des productions alignées sur l'État, comme d'ailleurs les médias publics, marginalisant les voix critiques.

Ces détournements renforcent un contrôle narratif au-delà des réseaux sociaux, transformant la culture en outil de propagande. Critiques que l'on retrouve sur Twitter dès 2020 avec la crise Covid et une invisibilisation de nombreuses personnes, qui ne « respecteraient pas les règles de la communauté » - des règles pour le moins opaques et à géométrie variable, car basées sur un consensus scientifique convenablement aligné sur les décisions de l'État et non de la science.

Conséquences géopolitiques : un clash transatlantique en gestation

La censure française alimente un bras de fer avec les États-Unis, où l'administration Trump défend le Premier Amendement contre le DSA,  perçu comme une entrave aux Big Tech. Thierry Breton a menacé Elon Musk en 2024 après une interview de Trump, tandis que l'UE et l'OTAN, via des centres comme Tallinn, exportent ce modèle. JD Vance, vice-président américain,  a alerté lors d'un meeting à Munich en 2025 sur les dangers pour la souveraineté numérique, un enjeu central des négociations commerciales. La fermeture du  Global Engagement Center sous Trump contraste avec l'essor de VIGINUM, renforçant les tensions. Ce conflit pourrait redéfinir les normes globales de la liberté d'expression, avec la France comme pionnière d'une régulation intrusive.

Comparaisons internationales : des échos troublants à l'échelle mondiale

Les  Twitter Files américains ont mis au jour des pressions du FBI sur Twitter pour  l'affaire Hunter Biden, confirmée dans le  rapport de l'association Marco Polo, tandis  qu'au Brésil, le juge Alexandre de Moraes a suspendu des comptes, menaçant X de fermeture avec  une possible intervention de twitter dans la victoire de Lula en 2022 selon Elon Musk.

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En France, le recours à des ONG et des financements internationaux comme USAID distingue un modèle structurel, ancré dans un élitisme institutionnel forgé à l'ENA, comme le rapporte Civilization Works. Si les trois cas convergent vers une instrumentalisation politique, la France se démarque par son héritage centralisé et son réseau d'influence transnationale, rendant son approche particulièrement insidieuse et exportable, comme  le souligne Epelboin avec le DSA comme héritier direct.

Impact sur les utilisateurs et le DSA : une vie privée sacrifiée

Les utilisateurs subissent une surveillance accrue avec des projets d'identification biométrique et une interdiction des réseaux sociaux aux moins de 15 ans, transformant l'espace numérique en un espace surveillé. Le DSA, imposant une modération sous peine d'amendes de 4 % du chiffre d'affaires mondial, force les plateformes à se plier aux lois locales, risquant une censure uniformisée à l'échelle européenne.

La loi SREN de 2024, intégrant le DSA en droit français, exige des mesures contre les deepfakes et une vérification d'âge, tandis que Chat Control, visant à scanner les contenus chiffrés, alimente les  craintes d'une surveillance de masse. Sur X, des appels à télécharger les Files pour les préserver traduisent une résistance naissanteface à cette érosion des libertés, obligeant les utilisateurs à naviguer dans un paysage numérique de plus en plus contraint.

Vers une société de contrôle : la défiance comme catalyseur

La défiance massive –  70 % des Français jugent les médias subventionnés biaisés (France-Soir) – pousse les élites à resserrer l'étau. La mission Neuder, les lois liberticides et l'info-fiction alimentée par des organismes comme le CNC ou les médias mainstream dessinent une société où la liberté d'expression devient un privilège accordé aux conformistes. Cette dérive, amplifiée par le DSA, les financements opaques et les pressions géopolitiques, risque de transformer la France en un laboratoire de surveillance. La perte de confiance, documentée par les sondages, reflète un rejet des narratifs officiels, incitant les pouvoirs à renforcer leur emprise via des outils technologiques et juridiques. Cette spirale autoritaire, si elle perdure, pourrait redéfinir les fondements démocratiques, plaçant les citoyens sous un contrôle permanent où chaque mot est scruté.

En conclusion : un sursaut nécessaire pour la liberté

Fazi et Clérotte concluent en dressant un tableau sombre des conséquences de la censure orchestrée par les élites européennes, avec un focus particulier sur la France. L'élection de Donald Trump et la défaite militaire de l'Occident en Ukraine ont fragilisé l'Union européenne, dont les dirigeants – notamment en Allemagne, au Royaume-Uni et en France – portent la responsabilité de la ruine économique. Cette crise résulte de la mauvaise gestion de la pandémie de covid-19, de l'allocation inconsidérée de centaines de milliards d'aide à l'Ukraine sans contrôle, et de sanctions inefficaces contre la Russie. Face à cet échec, l'establishment cherche à réprimer la liberté d'expression pour maintenir son pouvoir, révélant son incapacité à s'adapter à un monde où la communication échappe à la hiérarchie traditionnelle.

Le public, lui, se tourne vers des messageries cryptées et des médias indépendants, tandis que les élites s'accrochent à une idéologie mondialiste obsolète et à un contrôle dépassé des médias de masse, la télévision ayant perdu son audience. En France, une technocratie arrogante, déconnectée des réalités quotidiennes, privilégie des modèles abstraits et étend le contrôle étatique à tous les aspects de la vie sociale via la réglementation, l'ordre public et la justice. Cet establishment, comparé à un « chef de classe malveillant », démantèle les contre-pouvoirs – opposants politiques, justice impartiale, journalisme indépendant, mouvements populaires – pour éviter toute responsabilité.

Les contradictions s'aggravent avec la détérioration des liens transatlantiques : les élites défendent une souveraineté illusoire tout en cédant aux géants américains comme Microsoft et Amazon pour des systèmes critiques (armées, santé, nucléaire). Cette dépendance, couplée à une bureaucratie vorace, annonce une escalade de la répression institutionnelle et judiciaire de la liberté d'expression. Malgré ces perspectives sombres, le rapport suggère que les technologies disruptives pourraient défier ces élites obsolètes. En guise d'avertissement, Fazi et Clérotte citent Primo Levi : « Les monstres existent, mais ils sont trop peu nombreux pour être véritablement dangereux ; bien plus dangereux sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires qui croient et obéissent sans poser de questions », une réflexion qui résonne face à la légion de fonctionnaires français complices de ce système.

Il n'est donc pas étonnant que 88 % des Français estiment que le gouvernement ne prend pas la mesure de l'urgence des réformes pour réduire le train de vie de l'État, 85 % le jugent incapable de réformer et 90% dénoncent les avantages exorbitants des élus ( sondage France-Soir/BonSens.org du 28 aout 2025).

Les Twitter Files France exposent un « complexe ou cartel de la censure » qui semble sous le contrôle et le pilotage de l'Elysée et de Macron, avec la complicité des médias mainstream subventionnés, de l'AFP, avec des questions flagrantes sur le rôle d'instances comme l'Agence Française du Développement, le CNC et ainsi que les parallèles avec USAID-Internews.

Dans un climat de défiance généralisée, cette censure menace de réduire la liberté d'expression à un écho du discours officiel. Les réactions sur X sont nombreuses et appellent à une mobilisation citoyenne pour contrer cette dérive. La bataille pour la vérité, loin d'être terminée, exige un réveil collectif face à un système qui étouffe la voix de la démocratie.

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